Le régime commercial simplifié autorise aux petits et moyens contribuables qui font le commerce transfrontalier à accéder des facilités en termes d’infrastructures et l’accès du commerce sur les frontières.
Projets subventionnés
Un moyen pour les pays de lever des fonds par la Banque Mondial en hauteur de quatre vingt millions de dollars a fait naître l’outil efficace pour booster le commerce transfrontalier dans la région des grands lacs, a indiqué la Ministre du Commerce, du Transport, de l’artisanat,de l’Industrie et du tourisme Marie Chantal Nijimbere avec son homologue le Ministre du Commerce congolais Julien Pakulu Kahongya lors du lancement officiel pour l’accès du commerce frontalier entre le Burundi et la République Démocratique du Congo à la frontière de Gatumba en date du 30 Octobre 2024.
Convention entre les deux Etats
Les facilités pour les investisseurs petits et moyens contribuables, sont les mesures prises dans cette convention de supprimer certaines mesures frontières qui étaient des difficultés contre le commerce frontalier.
Cette inauguration du système technique technique d’échanges des marchandises du Commerce transfrontalier ( import et export) compte avoir pris des mesures de facilitation de certains documents qui étaient obligatoires comme le RECOS: (Régime Commercial simplifié) pour les pays et gouvernements membres du COMESA.
Avantages de cette convention
Selon le Ministre du Commerce, du Transport, de l’artisanat, de l’Industrie et du tourisme, ces mesures prises sont l’accès au développement du commerce transfrontalier entre les deux Etats membres dont la République Démocratique du Congo et le Burundi par le biais de supprimer certaines mesures au service douanier.
Il a aussi la facilité des petits commerçants qui font le commerce transfrontalier qui bénéficient l’exonération d’impôts et taxes pour les soixante six sortes de marchandises différentes qui sont sur la liste de convention entre les Etats membres.
La Ministre a encore ajouté que la liste des articles de marchandises concernés n’est pas définitive parce que chaque les six mois , la direction commerciale au sein dudit ministère étudiera encore les autres articles nécessaires et disponibles à ajouter.
La ministre a interpellé les investisseurs étrangers tant nationaux œuvrant au Burundi à se réveiller pour produire beaucoup plus pour bénéficier ces avantages.
Quant au ministre congolais du Commerce dans ses attributions, demande les services douaniers et migration de mise en place de cet accord. Ce dernier aura comme effet, l’augmentation des marchandises et du personnel dans le même secteur d’activité.
Les petits commerçants qui font le commerce transfrontalier auront beaucoup d’avantages fiscaux, ce qui encourage les investissements dans les secteurs prioritaires pour la mise en œuvre de leurs projets
Ce sont les mesures nécessaires prises par les autorités compétentes pour faciliter le commerce transfrontalier
Courage
Merci beaucoup